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Nouvelles[]
Climat, alimentation et spécificité locale[]
LE BURKINA FASO (présentation selon Faso New)
Enclavé dans les terres de l'Afrique occidentale, le Burkina Faso s'étend en bordure méridionale du Sahara, dans la partie centrale du Sahel. Il est limité par la Côte d’Ivoire, le Togo, le Ghana, le Bénin au sud, le Mali à l'ouest et au nord ouest, le Niger à l'est et au nord est.
Ancienne Haute Volta, colonie Française, et après une décénie de turbulences politiques (1980 ~ 1990), il voit aujourd'hui une croissance de son économie due en grande par à la stabilité politique par rapport aux autres pays de la sous région, et occupe une place de choix dans l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA). Devenu indépendant en 1960, il a été gouverné par une succéssion militaire, le Burkina Faso est devenu un état pluraliste depuis 1991. communes avec le Mali au nord-ouest, la Côte d'Ivoire au sud-ouest, le Ghana, le Togo et le Bénin au sud, et le Niger à l'est. Le pays couvre une superficie totale de 274 000 km2 dont 33 % (soit 95 650 km2) sont à vocation agricole. Dans l'ensemble, le relief est peu accentué et une bonne partie des sols sont secs et pauvres.
Situation et climat
Pays enclavé de l'Afrique de l'Ouest, le Burkina Faso a des frontières Le climat de type tropical se caractérise par l'alternance d'une longue saison sèche et d'une courte saison des pluies, établie de mai/juin à septembre, avec de très fortes variations interannuelles de la pluviométrie (voir le profil météorologique). Quatre zones peuvent être identifiées sur la base de critères éco-climatiques : la zone sahélienne au nord, avec une pluviométrie annuelle moyenne inférieure à 500 mm, et 40 à 50 jours de pluie. C'est une zone de parcours et de céréaliculture aléatoire. la zone sahélo-soudanienne au centre-nord, avec une pluviométrie annuelle moyenne comprise entre 500 et 750 mm, et 60 jours de pluie. C'est une zone de parcours et de culture d'arachide en association avec le mil et le sorgho. la zone soudanienne au centre-sud, avec une pluviométrie annuelle entre 750 et 1000 mm, et 70 à 80 jours de pluie. Cette zone présente des vocations comparables à celles de la zone sahélo-soudanienne. la zone soudano-guinéenne au sud-ouest, avec une pluviométrie supérieure à 1000 mm, et plus de 100 jours de pluie. Cette zone est favorable aux cultures pluviales exigeantes telles que le coton, le maïs, le riz, les fruits et les légumes.
Population
La population résidente était estimée à 8 millions d'habitants (dont 12 % d'urbains, 2 % de semi-urbains et 86 % de ruraux) au recensement de 1985. Avec un taux moyen de croissance annuelle de 2,82 % entre 1990 et 1999, la population a été estimée à 10 319 000 habitants en 1995 dont 73 % (soit 7 510 000) de ruraux, et à 10 995 000 habitants en 1999. La densité moyenne de 34,7 habitants/km2 est inégalement répartie, avec un centre du pays très peuplé contrairement au nord et à l'est (voir carte). La pression sur les terres arables est très forte.
Entre 1960 et 1964, la population employée dans l'agriculture a diminué de 90 % à 85 %, tandis que celle employée dans l'industrie a augmenté de 5 % à 10 %. Une partie de la population active travaille de manière temporaire ou permanente dans les pays limitrophes, particulièrement en Côte d'Ivoire.
Economie
L'économie du pays est caractérisée par le poids important de l'agriculture, dont la contribution au PIB est restée élevée malgré une baisse significative (68,2 % entre 1969 et 1971, 43 % entre 1979 et 1981, et 42,8 % en 1989). Le produit national brut par tête est de 230 US$. Plus de 80 % de la population vit de l'agriculture de subsistance, de l'exportation de l'or, du coton et du bétail. Les sécheresses de 1970-74 et de 1983-84 ont sévèrement affecté l'agriculture. Le développement est également handicapé par la faible fertilité des sols et la surexploitation des terres : 23 % du territoire sont exploitables et 11 % sont effectivement cultivés.
En janvier 1994, le FCFA a été dévalué de moitié par rapport au FF (1 FF = 100 FCFA). Au cours de la période suivant la dévaluation, le taux de croissance du PIB (4 % en 1995, 6 % en 1996 et 5,5 % en 1997) s'est maintenu au-dessus du taux de croissance de la population (2,6 %). L'indice des prix à la consommation est passé de 8,3 % entre 1993-97 à 2,3 % en 1997. En 1996, les importations totales étaient de 583 millions US$ tandis que les exportations totales étaient de 304 millions US$. En 1994, les importations de produits agricoles étaient de 90 millions US$, tandis que les exportations étaient de 75 millions de US$.
Projet de diffusion et de promotion de cuiseurs solaires au Burkina Faso
proposé par l'Association SOS Energie Burkina Faso
L'association SOS Energie Burkina Faso a pour objectifs d'oeuvrer à la protection de l'environnement
par la promotion des énergies renouvelables et les NTIC au Burkina Faso.
Contexte et justification du projet:
Le Burkina Faso, pays sahélien et enclavé situé dans la boucle du Niger au cœur de l’Afrique occidentale connaît de nos jours de sérieux problèmes de désertification.
Devant ce état des lieux combien alarmant, des actions marquants pour contrer les effets de la sécheresse et lutter contre la désertification ont été initiées ces dernières années. On peut citer entre autres les actions suivantes :
- lutter contre la coupe abusive du bois ;
- Reboisement industriel et villageois ;
- Recherche d’alternatives (énergie de substitution/foyer amélioré) pour alléger la pression excessive sur la végétation naturelle, etc
Aussi, plus de 90% du bois coupé au Burkina Faso est utilisé comme combustible. La consommation est plus élevée dans les zones urbaines que dans les ménages ruraux. Dans ces conditions, l'urbanisation rapide conduira à l'accélération de la déforestation, d'autant plus que les réserves de bois ont été surexploitées pour un temps considérable. L'importation de formes d'énergie n’est pas une alternative pour des raisons économiques. En raison de la forte encore et la hausse des coûts du bois et d'autres formes de combustible domestique le lien avec le problème de la pauvreté est évident. Dans le contexte de la mondialisation et de l'urbanisation la relation moderne de la croissance du secteur et l'accroissement de la pauvreté, la relation de l'acceptation de cuisinières solaires et socio-économique est abordée, de même que la possibilité de solutions hybrides au niveau local.
Documents[]
Rapports[]
Articles dans les médias[]
- Mai 2008: La cuisson solaire et écolo a son festival - Ouest France.fr
Sites web[]
Audio et vidéo[]
Contacts[]
ONGs et Associations[]
- Association ATOUTS SOLEIL
- Association Bolivia Inti - Sud Soleil
- Association SOS Energie Burkina Faso
- Association Sur la Piste
- Kegels Benjamin - Kera Energy
Actions individuelles et familiales[]
Fabricants et vendeurs[]
Voir aussi[]
Page disponible dans d'autres langues[]
- Page similaire sur le wiki en Anglais (traduction disponible): Burkina Faso